LES SCULPTURALES
D’une
qualité
sculpturale
étonnante,
cette
collection
offre
des
possibilités
décoratives
infinies.
Les
Sculpturales
deviennent
le
centre
d’intérêt
de
l’endroit où elles se trouvent
Kalanchoe Beharensis
Les
grandes
feuilles
vert-olive
à
gris-vert,
douces
comme
du
velour,
couleur
bronze
au
soleil,
ont
valu
à
cette
plante
héliophile
le
nom
commun
de
buisson
feutré
ou
encore
“oreilles
d’éléphant”.
D’une
qualité
sculpturale
étonnante,
ce
Kalanchoe
atteint
sans
problèmes
4
mètres
de
haut
et,
par
sa
présence
imposante,
ne
laisse
personne
indifférent.
Dans
les
régions
où
il
ne
gèle
pas,
on
peut
planter
ce
kalanchoe
au
jardin
dans
un
emplacement
ensoleillé
à
l’abri
des
vents
forts.
S’agissant
d’une
plante
succulente
avec
un
système
radiculaire
peu
important,
la
culture
en
pot
lui
convient
parfaitement.
Pensez
à
mettre
des
roulettes
sous
le
pot
afin
de
déplacer
votre
sculpture
sans
efforts.
Cyphostemma Juttae
Très
prisée,
cette
superbe
succulente
au
tronc
épais
et
tubulaire
est
une
des
plus
grande
espèces
de
son
genre.
Avec
l’âge
elle
developpe
quelques
branches
près
de
la
couronne,
formant
un
gros
buisson.
De
son
caudex
ligneux
naît
tous
les
étés
une
tige
feuillue.
À
maturité
ses
fruits
sont
rouges
(non
comestibles).
Son
nom
provient
du
grec
kyphos
«
bosse
»
et
stemma
«
couronne
»
ventrue.
Ce
sont
des
plantes
qui
peuvent
être
vigoureuses
(hauteur
2
m)
et
de
croissance
rapide
si
on
peut
leur
donner
un
volume
de
terre
important,
soit
avec
un
grand
pot,
soit
en
pleine
terre,
le
cas
échéant
dans
une
serre.
Cyphostemma
exsude
des
gouttelettes
de
latex
blanc
au
revers
de
ses
grandes
feuilles
charnues,
que
l’on
confond
souvent
avec
des attaques de parasites.
Tetrapanax Papyrifer
Pour
un
effet
jungle,
choisissez
la
plante
à
papier
de
riz,
un
arbuste
taiwanais
qui
peut
monter
jusqu'à
une
hauteur
de
6
m
et
plus.
La
moelle
blanche
des
parties
ligneuses
est
coupée
puis
aplatie
pour
la
production
du
papier
de
riz,
utilisé
en
Chine
depuis
le
deuxième
siècle
avant
JC.
Son
port
en
parasol
et
ses
gigantesques
feuilles
palmées
persistantes
lui
confèrent
une
allure
franchement
exotique.
Ses
grandes
feuilles
lobées
vertes
très
décoratives peuvent atteindre un diamètre de un mètre !
Assez
rustique
(aux
alentours
de
-12°C)
et
à
croissance
rapide,
Tetrapanax
préfère
les
sols
fertiles,
drainés
et
frais
en
exposition
mi-ombragée.
Spectaculaire,
originale,
luxuriante,
imposante
et
indispensable
dans
tout
jardin
qui se respecte !
Fockea Edulis
Fockea
fait
partie
des
plantes
a
caudex
qui
ont
renflé
leurs
racines
pour
s’adapter
au
mieux
à
un
milieu
particulièrement
hostile.
En
culture,
on
maintient
en
partie
au-dessus
du
niveau
du
sol
la
racine
(qui
est
enterrée
dans
le
pays
d’origine)
puisque
c’est
elle
qui
est
spectaculaire.
Du
latin
edule,
edulis,
qui
signifie
comestible,
le
caudex
est
consommé
par
une
ethnie
d'Afrique
du
Sud.
Avec
l’âge
Fockea
edulis
développe
quelques
branches
lignifiées
au
sommet
du
caudex
qui
lui
donne un air de bonsaï.
Ce
sont
des
plantes
qui
peuvent
atteindre
un
mètre
de
diamètre.
Quand
le
milieu
de
culture
est
favorable,
la
plante
produit
de
petites
fleurs
parfumées
vertes
et
blanches.
Tout
à
fait
remarquable,
Fockea
suscite
à
juste
titre l’admiration et la passion.
Ceropegia sandersonii
Originaire
du
Mozambique
et
d'Afrique
du
Sud,
le
genre
ceropegia
comprend
plus
de
150
espèces,
appartenant
à
la
famille
des
Apocynacées
(sous-famille
des
Asclépiadoïdées).
Ses
fleurs
hermaphrodites
sont
ici
en
forme
de
parachutes
et
présentent
une
corolle
gamopétale
renflée
à
sa
base
puis
tubulaire
et
s'évasant
en
pavillon
blanc
pour
se
terminer
par
5
lobes
s'unissant
vers
le
centre
de
la
fleur
pour
former
comme
une
toiture
au-dessus
du
pavillon.
Des
cils
commandent
l'accès
aux
organes
de
reproduction
en
piégeant
l'insecte
pollinisateur
le
temps
qu'il
remplisse
correctement
son
office.
Son
nom
spécifique
est
un
hommage
à
son
découvreur
en
1867,
en
Afrique
du
Sud,
le
journaliste
et
botaniste amateur écossais John SANDERSON.
Stapelia Variegata
Tachetées
ou
rayées
de
violet,
les
fleurs
font
presque
10
cm
de
diamètre
et
sont
charnues,
à
cinq
pétales.
Appelées
“fleurs
du
lézard”,
elles
sont
soutenues
par
des
tiges
fines
mais
robustes,
bleu-vert
ou
vertes
qui
s’empourprent
au
soleil
ou
pendant
une
période
de
sécheresse.
Des
gousses
de
graines
cornues
suivent
la
floraison.
Quand
la
gousse
s'ouvre,
elle
libère
un
nuage
de
graines
munie
chacune
d’un
parachute
ou
aigrette
blanche
(faisceau
de
poils
aidant
à
la
dispersion
par
le
vent).
Attention,
les
fleurs
de
cette
succulente
africaine
dégagent
une
odeur
désagréable
afin
d'attirer
les
insectes
pollinisateurs,
et
il
n'est
pas
rare
d'y
retrouver
des
œufs
ou
des
larves
à
l'intérieur !
Chorisia Speciosa
Nul
doute
que
pour
l’intérêt
décoratif
le
chorisia
speciosa,
rafle
la
mise.
Il
fait
exotique,
spécial,
bizarre,
magnifique,
autant
de
termes
finalement
pour
dire
qu’il
«
tape
à
l’oeil».
Lorsqu’il
se
retrouve
dénudé
en
fin
d’hiver,
on
appréciera
la
forme
de
son
tronc
bombé
qui
est
à
l’origine
de
son
nom
commun
“palo
borracho”
ou
baton
soûl.
C’est
une
succulente
de
la
famille
des
Baobabs,
son
tronc
vert
et
charnu
présente
de
nombreuses
épines
triangulaires
qui
deviennent
grises
avec
l'âge.
Sa
floraison
est
épatante,
il
fleurit
en
automne
avec
l’apparition
de
grandes
fleurs
de
20
cm
de
large
qui
ressemblent
à
celles
de
l’Hibiscus.
Il
est
également
connu
sous
le
nom
d’arbre
de
soie,
car
la
fibre
soyeuse
blanche
extraite
de
ses
fruits
non
comestibles,
servait
à
garnir
les
gilets
de
sauvetage !